C’est joli la terre
Quand elle est habitée
Mais les pierres ne conservent de la mer
Que les vagues de l’âme
Et dans les oubliettes
Les songes consommés
Et toutes les flammes idéales
Le temps roule
Dans les synapses de l’esprit
Et dans la houle
Les sentiments
Il est si fort le ciel
Que l’on voudrait l’intérioriser
Mais déjà il nous glisse entre les doigts
Et des hommes je ne sais plus rien
Ils m’ont tout désappris…
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