mercoledì 31 luglio 2019

ECATERINA - Anna Vercesi

Ecaterina

nei tuoi occhi di cielo
mi perdo
nascono tante, tutte le parole che non sai pronunciare
ti vorrei dare un mondo libero
un fiato di collina
un asinello da cavalcare
un vaso di semi da gettare al vento
per non far crollare voragini d'amore
costruiremo nuovi nidi d'argilla per le rondini
e grotte per gli orsi che non san dove nascondersi

ECATERINA 

adesso sorridi
quando senti le voci dei tuoi compagni
le tue ciglia smuovono un guizzo
le tue mani afferrano forte
sì lo so
vorresti correre con loro
e dipingere maschere di carnevale
di mille colori
CIAO CATE ti chiamiamo ancora con gioia e nostalgia
e la nostra voce giunga nel tuo paese
dove la tua mamma ti ha portato
ci hai insegnato che tutti abbiamo un cuore
ci hai dato un nome da ricordare
da amare
da sognare
come una foto che non sbiadirà.......

Anna Vercesi
DEDICATA A UNA MIA ALUNNA DISABILE CHE HA AIUTATO TUTTI NOI A CRESCERE.



George Onsy - La Cathédral ND de Paris parle encore malgré ses brûlures 4- DIALOGUER AVEC LA RÉVOLUTION FRANÇAISE




Pour Célébrer la Révolution Française, 14 Juillet ...

La Cathédral ND de Paris parle encore malgré ses brûlures
4- DIALOGUER AVEC LA RÉVOLUTION FRANÇAISE

Une autre étape sur mon chemin historique
Que je dois vous raconter
Mais, quelle étape !!!
C’est la Révolution Française …
La constitution des droits de l’homme,
Liberté … Egalité … Fraternité ;
N’est-ce pas cela, cher Robespierre
Ce que tu as réclamé ?

Liberté …
J’entends avec tes paroles
Les échos de la Prise de la Bastille
Le 14 juillet, 1789
Et je te dis, toi, Robespierre,
Comme je le dis à tous les français,
À l’Occident … à l’Orient
Je le dis à tout le monde
Qu’entre mes murs les échos retentissants
De la vraie liberté sont proclamés
Si hauts … si inoubliables
Oui, les échos de la Liberté véritable
Du Libérateur Tout-Puissant
Qui libère l’être humain
Enchaîné par son propre esclavage
Même si le système ecclésiastique
A échoué à lui donner un tel courage.

Égalité …
Oh, quel rêve jamais réalisé !
Cependant, je me souviens toujours
Comment le Roi des rois est venu,
Avec un amour fou vers l’HOMME,
Pour vivre le plus pauvre
De tous les pauvres
De l’histoire des marginalisés.
Et voilà Son Égalité :
S’humaniser pour diviniser
Oui, voilà Son Égalité
Même si le système forgé
Par les humains, faisait de mes leaders,
Parfois une classe hautaine, éloignée.

Fraternité …
J’entends et je faisais entendre
Cet appel d’un Seul Père
Aux yeux de qui vous tous êtes frères
Même s’il y a des prêtres
Qui n’ont pas la compassion du père.
Oui, aux yeux d’un Seul Père
Vous tous êtes également frères
Qui n’oubliez personne qui cherche du pain
Quand vous vous rassasiez de ‘brioches’
Mais, crois-moi, un jour viendra
Où les brioches deviendront très amères
Pour ceux qui continue à oublier.

Liberté … Égalité … Fraternité ?!!
Dites-moi si vous pouvez répondre,
Comment … comment ces principes
Peuvent se concrétiser ?
Par force ?!!
Tu sais Robespierre,
Ta théorie de ’la Terreur’ -
Qui a donné à ceux qui se voient libérateurs,
Réformateurs; tous ceux qui se croient
Avoir la seule et unique vérité -
Le droit de décapiter des milliers
Continue encore et toujours
Continue jusqu’à notre 21è siècle ?!!
Même sans besoin de l’invention géniale
D’un chirurgien ; la GUILLOTINE.
N’est-ce pas Monsieur J.I. Guillotin ?

Et voilà, tu as forgé la théorie de ‘la Terreur’ ;
Cher Robespierre ;
Mais étant arrivé au POUVOIR
Sur les cadavres de tes propres amis
La même Terreur n’a pas tardé
De te décapiter. Cependant,
Toutes les générations
Ne cessent d’oublier pour se répéter.

Je vois encore le maître de parole
Jean-Paul Marat,
Tué dans son bain
Avec sa plume de journaliste
Toujours à la main
Comme il existe sur cette peinture
De Jacques Louis Davide : ‘la mort de Marat’.
D’un martyr, il est devenu
Le symbole de la révolution
Et pourtant, Celui Qui m’a établie
Dans Son Nom … dans Sa Passion
Était et sera à jamais l’Éternel Martyr
De toute l’existence … de toute l’histoire
Car Il était Un Grand Révolutionnaire
Qui est allé jusqu’à verser son propre sang
En tâchant de changer ce monde
Passager des mortels
Pour les faire vivre et jouir de l’immortalité.
Je vous aime tous malgré mes brûlures
Cathédrale ND de Paris.

George Onsy-L’Egypte@copyright2019
Avec la composition que j’ai faite du panorama (de gauche à droite) :
1- Un ensemble de la photo de la façade de ND de Paris combiné avec un détail (mis dans son portail central) de la peinture : ‘LA MORT DE MARAT’ (1793-Musées royaux des beaux-arts de Belgique) par Jacques-Louis David, un peintre et conventionnel français (1748- 1825). Il est considéré comme le chef de file du mouvement néo-classique.
2- « M.M.J. Roberspierre (sic) : député de l'Artois à l'Assemblée nationale en 1789 », estampe dessinée par Jean-Urbain Guérin et gravée par Franz Gabriel Fiesinger (coll. Bibliothèque nationale, Cabinet des estampes). (l’image renversée).
3- La guillotine par laquelle des milliers ont été décapités, une invention autorisée par Joseph Ignace Guillotin, député constitutionnel de la révolution française. C’était l’invention d’un chirurgien.
4- Une affiche qui déclare l’execution de M.J. Maximilien Robespierre : surnommé le Catilina moderne, exécuté le 10 Thermidor an 2.e, de la République, estampe anonyme, Paris, BnF, 1794. (l’image renversée). Sur l’affiche se lit :
‘J’ai joué les français et la divinité ….
Je meurs sur l’échaufaud. je l’ai bien mérité.’
(les fautes du français ici existent sur l’affiche originelle).
5- (A droite-en bas) La peinture ‘PRISE DE LA BASTILLE’ (vers 1789-1791) par un peintre anonyme de Nord de France. Coll. Musée de la Révolution française, Vizille.
Combinée avec :
Un détail central de la peinture : ‘LA LIBERTÉ GUIDANT LE PEUPLE’ (1830) par le peintre français Eugène Delacroix (1798 -1863) - Musée du Louvre, département des peintures, Paris (France).
Robespierre
Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre1, est un avocat et homme politique françaisné le 6 mai 1758 à Arras et mort guillotiné le 28 juillet 1794 à Paris, place de la Révolution. Il est l'une des principales figures de la Révolution française et demeure aussi l'un des personnages les plus controversés de cette période.
Maximilien de Robespierre est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants et il perd sa mère à l'âge de six ans. Son père abandonne le foyer et dès lors, Maximilien est pris en charge par son grand-père maternel. Après d'excellentes études au collège d'Arras et au collège Louis-le-Grand de Paris, licencié en droit, il devient avocat et s'inscrit en 1781 au Conseil provincial d'Artois, occupant même un temps la charge de juge au tribunal épiscopal.
Élu député du Tiers état aux États généraux de 1789, il devient bientôt l'une des principales figures des « démocrates » à l'Assemblée constituante, défendant l'abolition de la peine de mort et de l'esclavage, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel et l'égalité des droits contre le suffrage censitaire. Il décide aussi de réglementer sévèrement la Bourse. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en devient le plus illustre membre et l'une des figures de proue. Après la scission des Feuillants, il contribue à sa réorganisation et lui permet grandement de conserver le soutien de la plupart des sociétés affiliées de province.
Jean-Paul Marat
Jean-Paul Marat, né le 24 mai 1743 à Boudry(Principauté de Neuchâtel (aujourd'hui canton de Neuchâtel)) et mort assassiné le 13 juillet 1793 à Paris, est un médecin, physicien, journaliste et homme politiquefrançais. Il est député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Son assassinat par Charlotte Corday permet aux hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon.
La Terreur
La Terreur est une période de la Révolution française caractérisée par un État d'exception, des violences d'État et des exactions d'individus se réclamant de son autorité, commises dans le cadre de la guerre de Vendée, des insurrections fédéralistes ou contre des individus censés menacer la Première République. Elle s'est traduite par des exécutions de masse et est associée dans l'iconographie populaire à la guillotine. Le mot est forgé lors de la réaction thermidorienne1 et désigne l'ensemble des violences qui se sont produites jusqu'au 28 juillet 1794 (le 10 thermidor de l'an II) et la chute de Robespierre, en associant de manière politique celui-ci à celles-là.
La date de son commencement est imprécise, les historiens la faisant commencer à la création du deuxième tribunal révolutionnaire en mars 1793, aux massacres de Septembre de 1792, voire aux premières têtes tranchées de juillet 1789.
À la suite de la chute de la monarchie, le 10 août 1792 et de l’arrestation2 des députés girondins lors des journées d’émeute des 31 mai et 2 juin 1793, les montagnards prennent le pouvoir. La Première République, alors engagée dans une guerre révolutionnaire contre une coalition européenne et une guerre civile contre les royalistes et les fédéralistes, est gouvernée par un pouvoir d’exception reposant sur la force et la répression3 à l'encontre des opposants politiques qualifiés de « contre-révolutionnaires ». La répression touche les royalistes, les girondins, les modérés, avant que les montagnards ne se déchirent entre eux et que ne soient à leur tour frappés les Hébertistes, partisans d'une radicalisation de la Révolution et de la déchristianisation, puis les dantonistes et Indulgents. À la suite de la victoire des armées républicaines, les députés de la Plaine, les anciens dantonistes et même les hébertistes ainsi qu'une partie des Jacobins s'unissent contre Robespierre et ses alliés, soupçonnés de vouloir instaurer une dictature. Ils sont exécutés le 28 juillet 1794.
Pendant cette période, environ 500 000 personnes sont emprisonnées et approximativement 100 000 exécutées ou victimes de massacres, dont environ 17 000 guillotinés, 20 000 à 30 000 fusillés, et des dizaines de milliers de prisonniers et de civils vendéens, hommes, femmes, et enfants, victimes notamment des massacres du Mans, de Savenay, des colonnes infernales, des noyades et des fusillades de Nantes.

Source : Wiképedia

Poem by Sethi Krishan Chand


Poem by Sethi Krishan Chand
 
 
Though!
 
let me
wipe off my tears
before I sleep;
 
She may
not judge
I was crying;
 
Let her be happy
over a smile
in my sigh;
 
Though it all
happens to be
just in my dreams.
 
 
 
Pulse
 
Let me check
my pulse
before she
arrives;
 
I don’t want
her to cry
on seeing me
dead.
 
K C Sethi(c)2019