Pour Célébrer la Révolution Française, 14 Juillet ...
La Cathédral ND de Paris parle encore malgré ses brûlures
4- DIALOGUER AVEC LA RÉVOLUTION FRANÇAISE
Une autre étape sur mon chemin historique
Que je dois vous raconter
Mais, quelle étape !!!
C’est la Révolution Française …
La constitution des droits de l’homme,
Liberté … Egalité … Fraternité ;
N’est-ce pas cela, cher Robespierre
Ce que tu as réclamé ?
Liberté …
J’entends avec tes paroles
Les échos de la Prise de la Bastille
Le 14 juillet, 1789
Et je te dis, toi, Robespierre,
Comme je le dis à tous les français,
À l’Occident … à l’Orient
Je le dis à tout le monde
Qu’entre mes murs les échos retentissants
De la vraie liberté sont proclamés
Si hauts … si inoubliables
Oui, les échos de la Liberté véritable
Du Libérateur Tout-Puissant
Qui libère l’être humain
Enchaîné par son propre esclavage
Même si le système ecclésiastique
A échoué à lui donner un tel courage.
Égalité …
Oh, quel rêve jamais réalisé !
Cependant, je me souviens toujours
Comment le Roi des rois est venu,
Avec un amour fou vers l’HOMME,
Pour vivre le plus pauvre
De tous les pauvres
De l’histoire des marginalisés.
Et voilà Son Égalité :
S’humaniser pour diviniser
Oui, voilà Son Égalité
Même si le système forgé
Par les humains, faisait de mes leaders,
Parfois une classe hautaine, éloignée.
Fraternité …
J’entends et je faisais entendre
Cet appel d’un Seul Père
Aux yeux de qui vous tous êtes frères
Même s’il y a des prêtres
Qui n’ont pas la compassion du père.
Oui, aux yeux d’un Seul Père
Vous tous êtes également frères
Qui n’oubliez personne qui cherche du pain
Quand vous vous rassasiez de ‘brioches’
Mais, crois-moi, un jour viendra
Où les brioches deviendront très amères
Pour ceux qui continue à oublier.
Liberté … Égalité … Fraternité ?!!
Dites-moi si vous pouvez répondre,
Comment … comment ces principes
Peuvent se concrétiser ?
Par force ?!!
Tu sais Robespierre,
Ta théorie de ’la Terreur’ -
Qui a donné à ceux qui se voient libérateurs,
Réformateurs; tous ceux qui se croient
Avoir la seule et unique vérité -
Le droit de décapiter des milliers
Continue encore et toujours
Continue jusqu’à notre 21è siècle ?!!
Même sans besoin de l’invention géniale
D’un chirurgien ; la GUILLOTINE.
N’est-ce pas Monsieur J.I. Guillotin ?
Et voilà, tu as forgé la théorie de ‘la Terreur’ ;
Cher Robespierre ;
Mais étant arrivé au POUVOIR
Sur les cadavres de tes propres amis
La même Terreur n’a pas tardé
De te décapiter. Cependant,
Toutes les générations
Ne cessent d’oublier pour se répéter.
Je vois encore le maître de parole
Jean-Paul Marat,
Tué dans son bain
Avec sa plume de journaliste
Toujours à la main
Comme il existe sur cette peinture
De Jacques Louis Davide : ‘la mort de Marat’.
D’un martyr, il est devenu
Le symbole de la révolution
Et pourtant, Celui Qui m’a établie
Dans Son Nom … dans Sa Passion
Était et sera à jamais l’Éternel Martyr
De toute l’existence … de toute l’histoire
Car Il était Un Grand Révolutionnaire
Qui est allé jusqu’à verser son propre sang
En tâchant de changer ce monde
Passager des mortels
Pour les faire vivre et jouir de l’immortalité.
Je vous aime tous malgré mes brûlures
Cathédrale ND de Paris.
George Onsy-L’Egypte@copyright2019
Avec la composition que j’ai faite du panorama (de gauche à droite) :
2- «
M.M.J. Roberspierre (sic) : député de l'Artois à l'Assemblée nationale en 1789 », estampe dessinée par
Jean-Urbain Guérin et gravée par
Franz Gabriel Fiesinger (coll. Bibliothèque nationale, Cabinet des estampes). (l’image renversée).
3- La guillotine par laquelle des milliers ont été décapités, une invention autorisée par
Joseph Ignace Guillotin, député constitutionnel de la révolution française. C’était l’invention d’un chirurgien.
4- Une affiche qui déclare l’execution
de M.J. Maximilien Robespierre : surnommé le Catilina moderne, exécuté le 10 Thermidor an 2.e, de la République, estampe anonyme, Paris,
BnF, 1794. (l’image renversée). Sur l’affiche se lit :
‘J’ai joué les français et la divinité ….
Je meurs sur l’échaufaud. je l’ai bien mérité.’
(les fautes du français ici existent sur l’affiche originelle).
5- (A droite-en bas) La peinture ‘PRISE DE LA BASTILLE’ (vers 1789-1791) par un peintre anonyme de Nord de France. Coll. Musée de la Révolution française, Vizille.
Combinée avec :
Robespierre
Maximilien de Robespierre est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants et il perd sa mère à l'âge de six ans. Son père abandonne le foyer et dès lors, Maximilien est pris en charge par son grand-père maternel. Après d'excellentes études au collège d'Arras et au
collège Louis-le-Grand de Paris, licencié en droit, il devient
avocat et s'inscrit en 1781 au Conseil provincial d'Artois, occupant même un temps la charge de juge au tribunal épiscopal.
Jean-Paul Marat
La Terreur
La
Terreur est une période de la
Révolution française caractérisée par un État d'exception, des violences d'État et des exactions d'individus se réclamant de son autorité, commises dans le cadre de la
guerre de Vendée, des insurrections fédéralistes ou contre des individus censés menacer la
Première République. Elle s'est traduite par des exécutions de masse et est associée dans l'iconographie populaire à la guillotine. Le mot est forgé lors de la
réaction thermidorienne1 et désigne l'ensemble des violences qui se sont produites jusqu'au 28 juillet 1794 (le 10 thermidor de l'an II) et la
chute de Robespierre, en associant de manière politique celui-ci à celles-là.
La date de son commencement est imprécise, les historiens la faisant commencer à la création du deuxième
tribunal révolutionnaire en mars 1793, aux
massacres de Septembre de 1792, voire aux premières têtes tranchées de juillet 1789.
À la suite de la
chute de la monarchie, le
10 août 1792 et de l’
arrestation2 des députés
girondins lors des
journées d’émeute des 31 mai et 2 juin 1793, les
montagnards prennent le pouvoir. La
Première République, alors engagée dans une
guerre révolutionnaire contre une
coalition européenne et une
guerre civile contre les
royalistes et les
fédéralistes, est gouvernée par un pouvoir d’exception reposant sur la force et la répression
3 à l'encontre des opposants politiques qualifiés de «
contre-révolutionnaires ». La répression touche les
royalistes, les
girondins, les
modérés, avant que les
montagnards ne se déchirent entre eux et que ne soient à leur tour frappés les
Hébertistes, partisans d'une radicalisation de la Révolution et de la
déchristianisation, puis les
dantonistes et
Indulgents. À la suite de la victoire des armées républicaines, les députés de la
Plaine, les anciens dantonistes et même les hébertistes ainsi qu'une partie des Jacobins s'unissent contre
Robespierre et ses alliés, soupçonnés de vouloir instaurer une dictature. Ils sont exécutés le
28 juillet 1794.
Pendant cette période, environ 500 000 personnes sont emprisonnées et approximativement 100 000 exécutées ou victimes de massacres, dont environ 17 000
guillotinés, 20 000 à 30 000
fusillés, et des dizaines de milliers de prisonniers et de civils
vendéens, hommes, femmes, et enfants, victimes notamment des massacres
du Mans, de
Savenay, des
colonnes infernales, des
noyades et des
fusillades de Nantes.
Source : Wiképedia